La force produite au sol au cours d’un sprint peut-elle être prédictive de blessure des muscles ischio-jambiers

Projet soutenu en 2019

Porteur du projet

Le professeur Pascal EDOUARD, PUPH Physiologie et Médecine du sport au CHU de Saint-Etienne, ainsi que Caroline PRINCE, doctorante et physiothérapeute à l’Hôpital de la Tour à Genève

Résumé du projet

La force produite au sol au cours d’un sprint peut-elle être prédictive de blessure des muscles ischio-jambiers

Le professeur Pascal EDOUARD, PUPH Physiologie et Médecine du sport au CHU de Saint-Etienne, ainsi que Caroline PRINCE, doctorante et physiothérapeute à l’Hôpital de la Tour à Genève, ont présenté il y a quelques jours au comité de gestion de la Fondation le suivi des travaux : la force produite au sol au cours d’un sprint peut-elle être prédictive de blessure des muscles ischio-jambiers.

Les muscles ischio-jambiers situés à l’arrière de la cuisse ont un rôle majeur pour permettre à un athlète d’accélérer lorsqu’il court. Pourtant, la blessure de ces muscles est fréquente dans les sports impliquant de hautes vitesses de course. Avant même qu’ils ne se blessent, les muscles ischio-jambiers sont parfois déjà affaiblis. Cette diminution de force peut-être indirectement détectée lors de l’analyse de production de force au sol au cours d’un sprint. L’objectif de ce travail est de déterminer si une diminution des capacités de production de force d’un athlète au cours d’un sprint pourrait prédire la lésion des muscles ischio-jambiers.

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